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31.12.13

À L'AUBE DE L'ANNÉE NOUVELLE !


 
 

MEILLEURS VOEUX POUR 2014 !




L'AVENT, DOUCE PROMESSE


Dans l’oasis de l’âme, au creux de nos déserts,
La source de la joie entrouvre l’indicible
Où l’homme peut saisir l’humaine Déité ;
Avec ferveur, Noël reflète l’allégresse
Alors que l’hymne fond, bénissant la splendeur
De l’Enfant qui va naître en toute prescience. 

Des flots de plénitude embrasent l’univers,
La suprême énergie insuffle nos prières
Tandis qu’un messager chante l’avènement ;
Sa lumière transporte au-delà des prémices
Le zéphire d’amour qui montre le chemin
Du fraternel partage où brille l’espérance. 

Le trésor de la paix couronne l’innocent
Lorsque la déraison fragilise le Monde ;
Célébrons l’avenir dans l’émerveillement :
L’être contemplatif libère le silence,
Il cueille la rencontre au sommet du bonheur 
Et se relie à l’autre en pleine conscience.

PROMENADE DES TOURNESOLS ...

 
 




 
 
 
  



 
 30 décembre 2013


FLEURIS DE NOVEMBRE et DÉCEMBRE ...

 
 




 
 
 

INITIATIQUE ÉCHAPPÉE



                À Fernando le poète 

Tu formes le tout s’unissant aux riens,
fier rêveur de l'infini, dans l’offrande
de n’être point publié ni connu ;
Tu restes l’humble créateur
qui reçoit dans les abysses du néant
les multiplicités d’un monde virtuose ;
Disciple de l’instant solitaire,
le flot de l’inachevé devient chair
lorsque s’inscrit ton nom : Personne !
Caboteur de l’invisible splendeur,
J’entends les silences qui t'abritent
Au regard des fixités coutumières ;
Les saphirs du folio conducteur
Gravent leurs confidences
Sur le violon des mots.

 

L'INFINITÉ DE L'AUBE...



 

Étoiles d’or pleurant dans la main ciselée de la grâce
Ces mots gravés sur la douceur d’une page blanche,
Tu goûtes la quintessence de ce jour
Lorsque ton regard pénètre l’infini.
 



 
Sur le marchepied de l’aurore,
L’éblouissant soleil scintille...
Et sous le manteau froid de la brume
Soupire le gel du matin !
 
 

 
Lorsque se dépose la rouille
Sur le mur bleu du ciel délavé...
L’arc-en-ciel des pluies passagères
Illumine le col des façades !
 



 
 

JE DORS DANS LA LUMIÈRE

 


 

L’amour fut le joyau, ce feu d’infinitudes…
Tandis que la jeunesse étourdissait nos cœurs ;
Une réminiscence étreint mes certitudes
Transcendant les éclats de tes rires vainqueurs. 

L’aiguillon de la nuit recueille mes alarmes
Délivrant de l’extase un tourment doucereux ;
L’effluve intemporel éclabousse de larmes
Le sceptre du matin baigné d’ors vaporeux. 

Les soleils frissonnants de l’indicible eau vive
Instillent sur ma chair la tendre floraison ;
Lorsque fuit l’été fauve où l’étoile s’avive
Les flammes d’un regard fleurissent l’horizon. 

Filtrant du clair-obscur, une ombre monotone
Afflige l’aube heureuse avec intensité ;
L’artifice de l’heure affronte un bel automne
Dont les parures d’ocre ont peint l’immensité. 

Que novembre s’embrume au creux du chrysanthème
L’hiver - de son linceul - ravive les beffrois ;
Le front noir de la voûte inscrit deux mots : "Je t’aime"
Et ta présence nimbe à l’instant de grands froids !



Douceur Dominicale dans les Berceaux de la Joie, en Hommage aux Jardinières des Jolis Mots et Tubes-Créations

Comment rendre témoign age à l’aminaute nous offrant les im ages d’un personn age , un vis age , un pays age , un thème, des mots… octroya...