Aux cimes du chalet, t’accueillent les myrtilles,
Grandeur du paysage où plane l’indicible ...
Le firmament rosit au bord de tes paupières,
Sur la sente, un chamois bondit à contre-jour,
Tu rejoins le refuge aux sources d'allégresse,
Ta vue embrasse l’or se mirant sur la crête,
Graviras-tu le pic de ces neiges d’albâtre ?
Couchant savoyard |